L’aventure DAVIS CRATES est née il y a 5 ans à Venice Beach. Ayant eu un grand-père ébéniste et des parents commerçants, ce jeune artiste ne le savait pas encore, mais sa passion pour les caisses en bois allait très vite devenir son business.

Un artiste guidé par sa Emuna Arrivé aux States en 2010, il est passé par tous les jobs et s’est même découragé. Un jour, il se retrouve à Venice beach, l? où tout a commencé. Il y vend des caisses en bois dans la rue la plus branchée : Abbot kinney. « Au départ, je ne savais pas quoi faire jusqu’au jour où une cliente me demande de les lui vendre pour en faire des étagères. Et l? , j’ai eu une vision, c’était comme un appel de l’au del? qui me dit : vas-y, fais ça ! Je n’avais plus rien, mais je n’avais pas perdu espoir. J’ai toujours eu la foi en Hachem. Ce jour-l? , j’avais une Emouna de folie ! Dès le lendemain, ces caisses étaient déj? devenues du mobilier d’intérieur. Davis Crates était lançé ! » La source originelle de l’artisanat, c’est créer à partir de rien Créer des meubles à partir de caisses ayant servi pour des cultures, ou de morceaux de bois trouvés dans la rue, tel est sa passion.

David réussit à donner de la vie à des choses que les gens n’estiment pas. C’est l? qu’il trouve tout son intérêt. « La poubelle des uns est le trésor des autres », dit-il et DAVIS CRATES confirme bien la règle. Chaque caisse a plus de 100 ans d’âge et est unique en son genre. Certaines ont encore des traces de fruits qui ont coulé, à l’époque où elles servaient à la cueillette. « Cette empreinte reste gravée sur les meubles de mes clients, jusqu’? leurs poignées et leur marquage. Ceci explique toute leur authenticité. », précise-t-il. Mes tables basses sont ma marque de fabrique David crée tous types de mobilier sur mesure à partir de morceaux de caisses emboîtés les uns dans les autres, de bois fermier, et d’autres matériaux.

Tables basses ou « dining table », étagères ou banquettes, ce sont toutes des pièces uniques s’adressant à tous types de clientèle. De Beverly Hills à West Hollywood en passant par Las Vegas, anniversaires de mariage ou Souccah party, sur la plage ou dans le désert, toutes les occasions sont bonnes pour laisser David décorer son espace. L’atmosphère marocaine : retour aux sources Au commencement, les créations Davis Crates étaient plutôt inspirées d’un look « farmers », voire rustique. C’est avec le temps qu’il a su adapter son goût à ses origines et à sa personnalité. Toujours sur Venice, il y a un an, dans un « pop-up shop » (magasin de vente au détail temporaire), son décor marocain orné de tapis, poufs et banquettes orientales a charmé plus d’un client, puisqu’il se met à décorer les espaces de grands évènements.

Aujourd’hui, des clients de toute la ville de Los Angeles font confiance à David pour agrémenter leurs festivités. Ce n’est pas un hasard si des célébrités comme Tom Cruise connaissent l’art de David Pilcer. Mais sa modestie lui fait garder les pieds sur terre. Il se trouvait juste au bon moment, au bon endroit ! Photo Téba et Aron Hakodesh de la synagogue JFCC, crées par David et Rav Tal Perez. Points de vente : *Flea Market / Showroom / photoshoot studio ( Tous les dimanches matins dès 9h ) 7850 Melrose Avenue, Los Angeles, CA 90046 *Showroom / photoshoot studio (même adresse) .

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9.3

Fête de la naissance, de la Emouna, de la liberté, elle se prononce « Pessar » (« passover » en anglais qui veut dire littéralement « passer au dessus »). Mode d’emploi : mettre de côté son ego, faire le vide, devenir comme une matza, plate comme une galette, se vider de son orgueil, réapprendre, accepter d’écouter, recevoir et être libre. Chaque année, ici, à Los Angeles, nous lisons ensemble la Haggadah, ressentant la douleur de l’esclavage, goûtant des nourritures symboliques pour finalement éprouver la joie de la libération de notre peuple.

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Chers Lecteurs, Chères Lectrices,

Je me présente, Ilona Cazorla, nouvelle rédactrice en chef du magazine Fréquence J.

Installée depuis trois ans aux États-Unis et anciennement diplômée de Sciences Politiques, passionnée d'art, de cinéma et de littérature, je partage mon temps entre mes deux villes d'adoption, Los Angeles et New York.

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