Cette Année, la fête de Tou Bichvat aura lieu le soir du Dimanche 21 Janvier. Penchons-nous sur les différentes coutumes relatives au soir de Tou Bichvat.

L’interdiction de jeûner et l’étude du Zohar Ha-Kadoch Il est interdit de jeûner le jour de Tou Bichvat. Certains ont la coutume d’étudier des Michnayott et des passages du Zohar Ha-Kadoch traitant de cette fête. Le Gaon Rabbi Yaakov Rokah’ z.ts.l a édité un livre intitulé « Péri Ets Hadar » qui traite exclusivement du jour de Tou Bichvat. Selon notre maître le Rav Ovadia YOSSEF z.ts.l, il est bon d’étudier ces passages avec attention et compréhension en évitant absolument de se contenter d’une simple lecture des textes. La tradition de consommer des fruits On a l’usage de consommer de nombreux fruits de l’arbre et de réciter la bénédiction propre à chacun d’entre eux. Il s’agit du Roch Ha-Chana des arbres. Cette belle tradition est mentionnée dans les propos de plusieurs Kabbalistes. Vérifier les fruits avant de les manger Vigilance à la présence de vers dans les fruits, la consommation est très grave.

Les fruits dans lesquels on peut trouver des vers doivent être ouverts et vérifiés avant de réciter la bénédiction et de les consommer. En effet, celui qui mange un ver transgresse pas moins de 5 interdits d’un seul coup (Péssa’him 24a), mis à part le fait qu’il souille aussi son âme et éloigne son cœur du service divin. Le Rav « Péri H’adach » a déj? mis en garde les chefs de communauté qui devraient enseigner la gravité de celui qui consommer des vers plutôt que de donner des cours sur des Midrachim. Les fruits secs comme les figues sèches, dont la présence de vers est très fréquente, sont les fruits les plus visés.

Certains ont la coutume de prier le jour de Tou Bichvat pour avoir un bel étrog pendant Souccot. Certains la contestent, la sentence des arbres n’ayant pas encore eu lieu.




Plusieurs Rabbanim en ont même interdit la consommation, à cause de la difficulté que nous avons à les vérifier. La bénédiction de « Chéhéh’eyanou » sur un fruit nouveau Sur un fruit que l’on n’a pas consommé depuis la saison dernière, on doit réciter la bénédiction de « Chéhéh’eyanou Vékiyémanou Véhigui’anou Lazémann Hazé », en faisant attention de réciter la bénédiction sur le fruit lui-même avant celle de Chéhéh’eyanou, celle-ci étant moins fréquente que la bénédiction du fruit. On doit toujours donner priorité à la bénédiction la plus fréquente.



Si l’on a deux types de fruit nouveau, une seule bénédiction de Chéhéh’eyanou suffit. Cependant s’il l’un d’eux n’était pas présent au moment de la bénédiction de Chéhéh’eyanou, il faudra à nouveau la réciter avant de manger l’autre fruit. Prier pour un bel Etrog Certains ont la coutume de prier le jour de Tou Bichvat pour avoir un bel étrog pendant Souccot. Certains la contestent, la sentence des arbres n’ayant pas encore eu lieu. Malgré tout, cet usage possède quelques explications. Dans la pratique, de nombreuses et importantes personnes l’observent. Le Gaon Rabbénou Yossef ‘HAÏM z.ts.l – qui maitrisait tous les secrets de la Torah, et le sens de chaque période – rapporte lui aussi cet usage dans son livre. .

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Le troc, les pièces, les lingots d’or, les billets, l’argent, le pouvoir de se nourrir, de s’offrir des belles choses. L’argent est un pouvoir permettant de subvenir à nos besoins physiques, Rav Ron Chaya Le désir est insatiable. La matière attire toujours l’homme vers elle. Le matériel n’étant l? que pour aider l’homme à accomplir sa mission spirituelle, FREQUENCE JUIVE vous présente quelques objets agréables, le parallèle entre l’ancienne et la nouvelle version n’étant l? que pour vous surprendre.

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